Article et photo RUGBYRAMADes quatre demi-finalistes, le Racing-Metro 92 est le seul à avoir clairement affiché son ambition de retrouver le Top 14 la saison prochaine. Ce n'est pas forcèment un avantage lors des confrontations à élimination directe.
Le Racing Metro 92 n'a jamais caché sa volonté : retrouver le Top 14 la saison prochaine. Comme le champion Toulon, le club francilien s'est appuyé sur un recrutement de haut niveau : Pichot, Auradou, Dubois, Valbon, Gérard, Festuccia, Lo Cicero et Pierre Berbizier pour manager tout ça. Des noms et de l'expérience qui n'ont pas suffi pour contrer l'armada varoise. Certains d'être contraints de participer à la phase finale depuis leur défaite à domicile face à Agen, les Parisiens ont évacué la déception de laisser le titre au RCT et ils préparent depuis une phase finale où ils font figure de favoris.
Le Racing-Metro est bien le gros poisson de ce dernier carré car les trois autres postulants toujours en course n'ont jamais évoqué une possible montée en Top 14. Mont-de-Marsan a vécu un rêve éveillé, Lyon est entré dans le quinté de tête à une journée de la fin et La Rochelle a eu droit à un petit miracle pour arracher sa qualification. Sans objectif précis, ces trois formations auront tout de même de l'ambition. La voie ne s'annonce pas royale pour les Ciel et Blanc. Ils pourront se souvenir que Toulon (et ses rêves de montée) avait chuté l'an passé au stade des demi-finales face à La Rochelle.
C'est d'ailleurs ces mêmes Rochelais qui se présenteront dimanche à Colombes. Des Maritimes qui viendront avec leur auréole de miraculés et le sentiment de ne rien avoir à perdre. Côte parisien, la tension sera au maximum même si les hommes de Pierre Berbizier ont déjà battu La Rochelle à deux reprises cette saison. De la tension et quelques doutes. La ligne de trois-quarts est en effet une énigme puisque l'arrière Greg Goosen (9 essais, 174 points) est forfait à cause d'une déchirure et son remplaçant Brend Ward revient d'une blessure à une cheville. Un véritable casse-tête pour les entraîneurs du Racing.
Le Racing Metro 92 n'a jamais caché sa volonté : retrouver le Top 14 la saison prochaine. Comme le champion Toulon, le club francilien s'est appuyé sur un recrutement de haut niveau : Pichot, Auradou, Dubois, Valbon, Gérard, Festuccia, Lo Cicero et Pierre Berbizier pour manager tout ça. Des noms et de l'expérience qui n'ont pas suffi pour contrer l'armada varoise. Certains d'être contraints de participer à la phase finale depuis leur défaite à domicile face à Agen, les Parisiens ont évacué la déception de laisser le titre au RCT et ils préparent depuis une phase finale où ils font figure de favoris.
Le Racing-Metro est bien le gros poisson de ce dernier carré car les trois autres postulants toujours en course n'ont jamais évoqué une possible montée en Top 14. Mont-de-Marsan a vécu un rêve éveillé, Lyon est entré dans le quinté de tête à une journée de la fin et La Rochelle a eu droit à un petit miracle pour arracher sa qualification. Sans objectif précis, ces trois formations auront tout de même de l'ambition. La voie ne s'annonce pas royale pour les Ciel et Blanc. Ils pourront se souvenir que Toulon (et ses rêves de montée) avait chuté l'an passé au stade des demi-finales face à La Rochelle.
C'est d'ailleurs ces mêmes Rochelais qui se présenteront dimanche à Colombes. Des Maritimes qui viendront avec leur auréole de miraculés et le sentiment de ne rien avoir à perdre. Côte parisien, la tension sera au maximum même si les hommes de Pierre Berbizier ont déjà battu La Rochelle à deux reprises cette saison. De la tension et quelques doutes. La ligne de trois-quarts est en effet une énigme puisque l'arrière Greg Goosen (9 essais, 174 points) est forfait à cause d'une déchirure et son remplaçant Brend Ward revient d'une blessure à une cheville. Un véritable casse-tête pour les entraîneurs du Racing.
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